Août 16
Philosophie, Société Luccio
Amour, Bergson, Socrate, Diogène, Terrorisme, Intégrisme, Humour, Rire, Cynisme, ironie, Morbide, Diable
Les PIQSOU 3 : Passantes, passants, en attendant d’achever le récit féerique d’un monde où la sidération fonctionne à l’explosion (car les étoiles jouissent d’explosions solaires), voici une petite considération esthétique et politique. Si les PIQSOU n’y apparaissent pas encore, s’y pointe déjà leur contraire le plus exact, j’ai nommé l’humour. Car une bonne façon de manquer d’humour, c’est de montrer sa supériorité face aux incohérences de l’autre.
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Août 31
Sport studies, Philosophie Oscar Gnouros
Cyclisme, kant, lettres, littérature, Bachelard, Proust, Machiavel, Hume, Descartes, Spinoza, Platon, Sartre, Heidegger, Aristote, Hobbes, Rousseau, Schmitt, Marx, Smith, Tocqueville, Avicenne, Averroès, Comte, Schopenhauer, Stirner, Bergson, Pyrrhon, Sextus Empiricus, Thalès, Pythagore, Héraclite, Diogène Laërce, Empédocle, Sénèque, Maïmonide, Kierkegaard, Epictéte, Leibniz, Newton, Locke, Plotin, Galilée, Lénine, Saint Thomas, Wittgenstein, Socrate, Alcibiade, Nietzsche, Zarathoustra, Wronski, Popper, Pascal, Botul, Montaigne, Hegel, Confucius, Parménide, Zénon, Diderot, d'Alembert, Deleuze, Derrida, Foucault, Simone de Beauvoir, Arendt, Emerson, Thoreau, Diogène, Ionesco, Einstein
On peut affirmer sans trop se tromper que de tous nos philosophes, seul Cioran fut véritablement cycliste. « J’ai parcouru la France entière à bicyclette » a-t-il un jour affirmé, mais il se ventait beaucoup.
Mais qu’auraient fait tous les autres philosophes, s’ils avaient pédalé ?
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Oct 19
Philosophie, Doxographies Oscar Gnouros
Platon, Aristote, Socrate, Nietzsche, Popper, Diogène, Démocratie, Xénophon, Aristophane, Duhot, Laërce, Gogias, Calliclès, Tyrannie, Plaisir, Désir
Le Gorgias est-il encore socratique, comme semblait le penser Popper ? Pourtant, Socrate y blâme Périclés. Il souhaite ne pas répondre aux besoins des Athéniens mais plutôt aller à leur encontre en les rendant plus justes : c’est la porte ouverte à la tyrannie de la République. Soit ce dialogue est platonicien et on peut y voir là l’empreinte de Platon. Soit il est socratique et cela signifie que Socrate avait aussi certains penchants totalitaires.
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